Dans un bref message télévisé, le chef de l’Etat, qui a échoué dans la nuit de mardi à mercredi à imposer la loi martiale, a dit laisser à son parti le soin de décider de son mandat. Le Parlement doit se réunir samedi à 17 heures (9 heures, à Paris) pour se prononcer sur sa destitution.
C’est dingue cette propension des hommes politiques à ne pas vouloir lâcher le pouvoir quand tout le monde leur demande.
La faute à qui ? Qui aurait pu prévoir que le groupe présidentiel ne retrouverait pas la majorité au lendemain des européenes ?