Les excédents sont par exemple régulièrement investis dans une politique de prévention des risques ciblée sur les maladies cardiovasculaires, les cancers ou la santé mentale.

[…] les frais de fonctionnement de ce régime local sont presque nuls. De fait, il n’est pas nécessaire de créer de nouvelles infrastructures pour assurer les remboursements des soins, puisque le recouvrement des cotisations est assuré par l’Urssaf et les remboursements par la Caisse primaire d’assurance-maladie. Ainsi, moins de 1% des prestations servies sont nécessaires au bon fonctionnement du régime alsacien, là où les complémentaires santé y consacrent en moyenne 20% de leur budget, notamment du fait de leurs dépenses en publicité.

Les différences et le meilleur usage du budget santé sont liés au faible rôle donné aux complémentaires, ou je me trompe ?

Les décisions nationales des dernières décennies ont globalement renforcé le rôle des complémentaires, et le résultat est pire qu’en Alsace.